
L’apprentissage du Code de la route se fait généralement dans une auto-école. Cependant, il n’est pas proscrit de passer son permis sans être inscrit dans un centre de formation dédié, mais vous devez faire attention. Cette option comporte des pièges et des risques importants. Pour plus de détails, consultez la suite de ce guide.
Plan de l'article
Le piège lié aux expressions « je peux » et « je dois »
C’est l’un des pièges les plus fréquents lors des examens du Code de la route. À la question de savoir : que pouvez-vous faire, il faut répondre en fournissant toutes les options autorisées par le Code de la route. En revanche, il ne faut impliquer que les options obligatoires.
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Les épreuves théoriques
Des séries de questions portant sur les nouvelles technologies de l’automobile ont été ajoutées aux épreuves théoriques depuis la réforme de 2016. Il y a la bonne installation au poste de conduite, la sécurité des passagers, les dysfonctionnements mécaniques, etc. Il vous sera demandé par exemple la signification du voyant rouge avec point d’exclamation. Vous rencontrerez également les questions comme le nombre d’airbags obligatoire dans une voiture, le taux maximum d’alcoolémie toléré.
L’excès de prudence
C’est bien d’être prudent en conduite, mais une trop grande prudence peut être sanctionnée. En effet, freiner brusquement en cas de danger présent un risque pour le conducteur. De plus, les changements intempestifs de vitesse indurent une consommation importante de carburant. Il est donc recommandé de rouler sur une allure constante. Par ailleurs, vous devez savoir maîtriser et adapter votre vitesse en douceur.
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La double interrogation
Certaines questions des épreuves impliquent deux réponses ou actions. Il s’agit généralement des questions à choix multiples (QCM). Le piège ici est que les deux réponses ne seront pas nécessairement liées. C’est-à-dire qu’une réponse « non » n’implique pas forcément « oui » à la l’interrogation suivante.
Pour éviter le piège, il est conseillé de traiter les deux questions séparément. Voici un exemple de ce type d’interrogation. En face d’un panneau-STOP sur un carrefour a — vous vous arrêtez, b – vous avez la priorité. Les réponses sont respectivement oui et non, mais vous devez répondre séparément.
Le piège lié au rétroviseur
Le contrôle du miroir est conçu pour donner du réflexe aux candidats. En effet, il est souvent demandé aux apprenants du Code s’ils peuvent dépasser la voiture devant eux sur une route parfaitement dégagée. Avant de répondre, vous devez contrôler votre rétroviseur, car il se pourrait qu’une voiture soit trop proche de vous. Cette automobile peut être aussi en train de vous dépasser. Dans tous les cas, vous devez regarder le miroir avant d’entreprendre une action. Cela évite les accidents.
Le contrôle de vitesse
Il est question ici des panneaux de limitations de vitesse. En effet, ils ne représentent pas un but à atteindre, mais plutôt la vitesse à ne pas dépasser. Ce qui est élémentaire, c’est de savoir adapter sa vitesse en fonction du danger et du contexte.
Supposez par exemple que vous roulez sur une autoroute par temps de brouillard et votre visibilité est inférieure à 50 mètres. La vitesse maximale autorisée est de 50 km/h. Elle est de 110 km/h par temps de pluie, quel que soit l’endroit.